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                           LES PERSONNALITES DE

 

          LA BANQUE DE LA GUADELOUPE

 

          LA BANQUE DE LA MARTINIQUE

 

                            LA BDAF.

 

                                                                   

 

René Bonneville ( 1871 -1902)

 

Blanc créole, René Bonneville est le fils aîné d’une famille de six enfants. Son père, Jules Bonneville, né en Guadeloupe, caissier principal de la Banque de la Martinique de 1888 à 1920, d’esprit conservateur, faisait partie des notables et de l’aristocratie pierrotine.

 

René Bonneville, qui travailla une courte période à la Banque de la Martinique, fut tout d’abord journaliste puis rédacteur en chef politique du journal L’Opinion, journal républicain fondé par quatre riches négociants martiniquais, dont Amédée Knight, qui sera par la suite le premier sénateur de couleur élu. Amédée Knight fera d’ailleurs partie du cercle d’intimes de l’écrivain, étant tout autant le témoin de la déclaration de naissance de ses enfants que son témoin lors de duels. Car ses prises de position contre le « préjugé de couleur » qui pourrissaient alors le climat social aux Antilles lui valurent de nombreuses inimitiés, y compris au sein de sa propre famille et de ses amis qui se détournèrent de lui.

 

Lorsqu’il voulut se marier avec Valentine Surlemont, qui était une mulâtresse descendante d’esclaves, son propre père le rejeta, jugeant cette liaison contre nature et refusant d’introduire dans le giron familial une « sang-mêlé ». Ce mariage fut donc célébré, contre l’avis paternel, dans la colonie anglaise de Sainte-Lucie et provoquera sa révocation de la Banque de la Martinique dans laquelle il était alors employé, le directeur de l’établissement n’acceptant pas que son employé, à qui il avait refusé, à la demande de son père dont il était l’ami, un congé pour aller se marier, ait osé transgresser son refus.

 

Son œuvre : 

Bonneville décrit sans complaisance la société martiniquaise de l’époque et  qui dénonce les préjugés de couleur. Il a écrit une dizaine d’œuvres : des romans, des pièces de théâtre, des poèmes et des essais. De 1895 à 1902, il publiera 10 romans, à raison d’un roman tous les neuf mois, et une anthologie des auteurs et poètes martiniquais : Fleurs des Antilles.

 

Parmi ces œuvres, on peut citer :

Un roman      :    Le Triomphe d’Eglantine, 1897

Un recueil de poèmes : Babioles, 1900

Une anthologie de la littérature martiniquaise : Fleurs des Antilles, 1900

Une étude philosophique : Psychologie du préjugé de couleur, 1902

René Bonneville décéda le 8 mai 1902 lors de l’éruption de Mont Pelée. Choquée, sa veuve quittera la Martinique pour la métropole avec ses quatre enfants : Hervé, Solange, Suzanne et Renée.

 

          

 

          Gerty ARCHIMEDE (1909-1980)

Gerty Archimède est née le 26 avril 1909 à Morne-à-l’Eau, et décédée à Basse-Terre le 15 août 1980. Avocate, politicienne et féministe de la première heure, elle fait figure de légende et symbolise la femme Antillaise « en défense de la Paix, de la Justice et de la Fraternité », selon les paroles de Guy Bernos, président du Cercle gerty Archimède. Elle est la première femme avocate et Députée des Antilles.

 

 

Fille aînée d’une famille de cinq enfants, son père Justin Archimède, artisan boulanger et militant politique, contribue à lui donner une éducation exceptionnelle, dans un contexte social où la majorité de la population travaille alors dans le secteur de la canne à sucre. Il sera maire de Morne-à-l’Eau pendant 6 ans, et la jeune Gerty suivra de près ses activités, tout en réalisant le cursus scolaire le plus complet pour une jeune fille à cette époque.

 

Après l’obtention de son Baccalauréat, elle travaille à la Banque de Guadeloupe pour financer ses études de droit, qu’elle entreprend en Martinique et termine à Paris, à la Sorbonne. Sa licence réussie, elle devient en 1939, la première femme inscrite au Barreau de la Guadeloupe.

Sa culture, sa passion pour la littérature et la philosophie, son immense talent oratoire, l’aideront à s’imposer dans un milieu judiciaire jusqu’alors exclusivement masculin. On fera de toutes parts appel à elle pour sa popularité et ses capacités de défenseur.Elle sera désignée à 3 reprises Bâtonnier de l’Ordre de la Guadeloupe, charge qu’elle occupera de 1967 à 1970.

 

En 1945, le droit de vote étant reconnu aux femmes, elle embrasse la carrière politique, est élue Conseillère Générale sur la liste d’entente Social-communiste, puis Députée en tant que membre du groupe PCF, pour lequel elle siégera du 10 novembre 1946 au 17 avril 1951.Elle adhère formellement au Parti Communiste Français en 1948, qui la choisit comme représentante, et lui confie de nombreuses conférences à travers le monde.

Durant ses mandats politiques, elle déploie de constants efforts pour l’application de la sécurité Sociale, l’accès à la retraite des femmes de Guadeloupe, l’égalité de droits entre les Antilles et la Métropole. Elle s’adressera régulièrement au peuple guadeloupéen, pour solliciter son appui dans sa lutte contre le colonialisme.

 

En 1952 elle réintègre le Barreau, et se spécialise dans la défense des petits clients et des travailleurs humiliés. Parallèlement, elle est Élue adjointe au Maire de Basse-Terre, Élie Chauferein, qu’elle remplacera finalement jusqu’en 1956.

 

Très active au sein du féminisme, elle est responsable de la création de la fédération de l' « Union des Femmes Françaises », qui prendra par la suite le nom d’ « Union des Femmes Guadeloupénnes».Alain Fox en fait l’une des deux héroïnes de son oeuvre théâtrale « Pas de prison pour le vent », qui met en scène sa rencontre en 1970 avec Angela Davis; elle fut en effet l’organisatrice des comités de soutien à la jeune femme, condamnée à mort par les tribunaux californiens.

 

Du 17 au 18 mai 1980, elle préside le 7e Congrès du Parti Communiste Guadeloupéen, qui sera sa dernière apparition publique. Elle décède brusquement 3 mois plus tard dans sa maison de Basse-Terre.

Sa maison natale de Morne-à-l’Eau a été labellisée « Maison des Illustres » par le Ministère de la culture, et accueille un musée retraçant sa carrière et ses combats; un bronze lui est consacré sur le boulevard maritime de Basse-terre, ainsi qu’une rue du XIIe arrondissement de Paris.

          

 

          Jacques SIDAMBAROM

Il fut fondé de pouvoir honoraire de la BDAF et est le petit-fils d'Henry Sidambarom, celui qui conquit, après un long procès politique fait à la République, amorcé en 1904, et qui aboutit en 1923 par l'octroi de la nationalité française aux travailleurs indiens jusque là apatrides.

Jacques Sidambarom présida la vénérable association des Amis de l'Inde puis fonda, sous l'égide du Conseil Général, le Comité Sidambarom en 1988. En 2004, l'année où la Guadeloupe célébra le 150e anniversaire de l'arrivée des premiers Indiens en Guadeloupe, il œuvra à faire célébrer conjointement le 100e anniversaire du lancement du Procès politique de son illustre ascendant.

          

 

          Arnaud  RENE-CORAIL

Arnaud René-Corail né le 5 mars 1954 aux Trois-Îlets en Martinique a été cadre à la Banque des Antilles Françaises . Il est Maire des Trois-Ilets depuis 1989.

Il est également Conseiller Général de la commune depuis 2004. Il a également occupé les fonctions de Président de la Communauté d’Agglomération de l’Espace Sud de 2000 à 2008. Il appartient au mouvement politique ECOTI (DVG).

          

 

                    Luc CLEMENTE  

Né en 1954, cadre à la Banque des Antilles Françaises il est maire de la commune deSchœlcher depuis mars 2008.

          

 

                    Teddy RINER  

Depuis quelques années La BDAF est le seul partenaire antillais du septuple champion du monde de judo 

Pourquoi?

T. Riner: Oui, c'est le seul. Et c'est très important de pouvoir porter un partenaire de chez moi, quand je représente mon île à l'international. Dès que ce partenariat m'a été proposé, je l'ai accepté. Parce que c'est une fierté de pouvoir montrer les couleurs de mon île.

Quand je dis BDAF et qu'on l'entend, pour moi, ce sont tous les Antillais qui sont derrière et qui sont représentés.

          

 

                    Marlène CANGUIO  

 

1964 : la première Guadeloupéenne aux Jeux Olympiques, anicienne employée BDAF  (Portrait)

 

Au début des années 60, des championnats de France aux Jeux Olympiques de Tokyo, la Guadeloupéenne Marlène Canguio collectionne les records. Aujourd'hui installée à Ste Rose, elle se consacre à l'agriculture et partage avec son fils l'amour du sport.

Marlène Canguio aurait mérité le titre de « Gazelle » bien avant Marie-José Pérec, une autre grande championne olympique guadeloupéenne.

 

Le cours de la vie de la petite Marlène est intimement liée à l'histoire de France. Son père décide en 1942 de répondre à l'appel du Général De Gaulle et de faire dissidence. Il part clandestinement pour la Dominique, à la barbe de la police du gouverneur Saurin et rejoint l'armée américaine. Il restera 18 mois aux Etats-Unis, le temps de faire ses classes avant de partir se battre. Il laisse derrière lui une femme et un nouveau-né, Marlène, laquelle grandit avec cette histoire de papa patriote qu'elle n'a jamais vu, l'idéalise et à neuf ans, décide de partir à sa rencontre à Paris. Elle quitte une famille où elle est choyée pour l'inconnu. « Mon père avait refait sa vie, mais a accepté de m'accueillir. J'étais heureuse et je n'imaginais pas alors les déceptions qui m'attendaient. »

 

En 1951, à Nantes, ancien port négrier, les Antillais ne sont pas légion. Aussi quand une petite fille noire arrive à l'école, elle fait l'objet de bien des réflexions désobligeantes. « Naturellement j'en ai souffert, d'autant que j'ai toujours détesté l'injustice. En réponse, je n'avais que mes poings et je peux vous dire que je me suis souvent battue dans la cour d'école. Avec le recul, j'ai compris que je représentais l'inconnu mais pour un enfant, il est impossible d'analyser les événements de cette manière. » À 15 ans, Marlène décide de revenir sur son île, pour retrouver la chaleur d'une famille, des amis sincères, une autre façon de vivre. Nouvelle déception. De ce côté de l'Atlantique, les choses aussi ont changé après sept années d'expatriation. La Guadeloupe a évolué, ses amies ont grandi sur leur caillou. Elle n'arrive pas à se réadapter et doit se rendre à l'évidence : sa place n'est plus ici. Nouveau départ pour l'Hexagone, dix-huit mois plus tard. Pour lui changer les idées, son père l'inscrit au Racing Club des cheminots. « Immédiatement, j'ai adoré l'athlétisme. Ce sport où il fallait bouger sans cesse, se dépenser à l'extrême, toujours donner plus jusqu'à s'en étourdir. Et après quelques mois, l'entraîneur a confié à mon père que j'avais un vrai potentiel. Pourtant à ses yeux, cette activité restait ludique, sans envergure, et il en fut toujours ainsi malgré mes résultats aux compétitions.

 

En 1960, la future athlète se lance dans les sélections junior en équipe de France. En 1962, à 20 ans, elle participe aux championnats d'Europe d'athlétisme à Belgrade. En demi-finale, elle égale le record de France du 80 m haie, sa spécialité. « C'est l'une des plus belles aventures de ma vie. Plus tard j'ai réalisé que j'étais la seule noire participante à ces jeux de Belgrade. Sur le moment l'essentiel était ailleurs. Au sein de mon équipe, il n'y a jamais eu de problème de racisme. Nous étions tous des sportifs unis par la même passion. Lorsque j'ai foulé le stade de Belgrade, que j'ai entendu les ovations, je me suis senti des ailes. J'avais l'impression que la terre entière m'acclamait. C'était tellement grisant et incroyable que 45 ans plus tard, j'en ai encore les larmes aux yeux. Ce fut une journée emprunte d'émotions. J'ai égalé le record de France. Aujourd'hui, ce serait un événement mais pas à cette époque, sinon dans le microcosme sportif. J'habitais en province, il n'y avait pas la télévision, je ne lisais pas les journaux et mes parents ne s'intéressaient pas au sport. » À la question : est-elle née sous une étoile bienveillante ? Marlène répond avec toute la simplicité qui la caractérise : « je me suis retrouvée au bon endroit au bon moment. Si mes parents ne m'avaient pas inscrite à ce club pour canaliser mon énergie, je n'aurais jamais eu cette vie formidable. »

La découverte du monde comme récompense

Marlène continue ses activités. Elle est alors employée comme sténodactylo dans un établissement bancaire. Soir après soir, elle s'entraîne, se muscle, s'assouplit, court pour gagner davantage en résistance. Ses exploits sportifs, personne n'en parle à la maison. Le mot champion n'a jamais été prononcé. D'ailleurs, même au sein de l'équipe de France, la première vertu exigée d'un athlète restait sa modestie. « Tout a changé lorsque les médias ont commencé à aduler les exploits de certains, assure Marlène ; lorsque l'argent est venu s'immiscer dans cet esprit sportif. À mon époque, le dopage n'existait pas, sinon quand je suis partie où les premières rumeurs commençaient à circuler. » Deux années plus tard, en 1963, le jeune espoir de l'équipe de France ravit le titre à la championne en titre du 80 m haie avec un temps de 11 secondes. Elle est sélectionnée pour participer aux Jeux de l'amitié en pays africain, à Dakar, et l'année suivante, en 1964, elle est sélectionnée pour les J.O. de Tokyo. C'est la première Guadeloupéenne à participer à une telle manifestation. « J'étais consciente de l'enjeu. J'avais pleinement intégré mon rôle. Mais pour moi comme pour toute l'équipe, notre principale motivation restait la perspective des voyages. L'argent n'était pas encore un enjeu. Découvrir Tokyo et le Japon c'était une opportunité inespérée, la plus belle des récompenses. J'ai pris un mois de congés et je suis partie. »

C'est la première fois qu'une compétition de cette envergure est retransmise à la télévision. Aux 80 m haie, la Guadeloupéenne réalise le 5e temps et fournit une excellente performance dans le relais 4X100 m. « En Guadeloupe, les amis, la famille, les voisins ont vraiment vécu cet événement comme une prouesse. D'autant qu'il y avait aussi Roger Bambuck, un autre Guadeloupéen. Aussi, lorsque l'équipe de France a fait un déplacement sur l'île en 1965, tout Morne Rouge est venu m'accompagner à ma démonstration au Lamentin. J'étais la petite fille du pays, membre à part entière de l'équipe de France. Je sentais cette fierté dans le regard de mes compatriotes et j'en étais heureuse. »

Sa plus belle victoire

En 1966 alors que Marlène s'entraîne pour les championnats d'Europe à Budapest, elle est victime d'un terrible accident de voiture et tous ses espoirs de participation à cette compétition s'envolent. « Ce fut mon premier vrai chagrin. J'étais anéantie. Puis je me suis ressaisie et malgré les recommandations des médecins j'ai repris dès que possible l'entraînement. En ligne de mire Mexico en 68. Quelques semaines avant le départ, je participe à un meeting avec trois épreuves, une de trop. C'est le claquage deux mois avant le départ et la fin du rêve pour Mexico. » En 1969, à nouveau les championnats de France. Marlène réussit sa plus belle performance en battant le record de France du 100 m haie, en 13,6 secondes et devient vice championne de France du saut en longueur. « Curieusement, pour la première fois de ma vie, j'ai éprouvé de la fierté. »Marlène continue sa carrière de sportive, jusqu'au jour où les premiers symptômes apparaissent. Mal aux muscles, mais pas aux endroits habituels, difficulté à se lever le matin, à monter les escaliers. Elle est hospitalisée. Ses muscles ne répondent plus. Au cours des 35 premiers jours d'hospitalisation, les analyses ne dévoilent rien. Puis c'est le verdict. Marlène est atteinte d'une maladie orpheline qui lui fait perdre l'usage de ses muscles. « Je me souviens très bien de ce jour terrible. Dans la chambre d'hôpital, Joseph Magrot le plus grand entraîneur de l'époque est venu me rejoindre. Il m'a dit : tu prends de l'âge, tu pourrais passer ton savoir aux autres. Alors j'ai compris que la compétition, c'était fini. » En réalité, la maladie impose à la jeune Guadeloupéenne de prendre des corticoïdes, lui interdisant du même coup l'accès à un quelconque championnat. « C'était dur mais curieusement ce ne fut pas un choc. J'avais atteint mon niveau maximum, j'en étais persuadée. Il n'y avait donc pas de place pour les regrets. Je suis restée au club de Nantes pour participer à quelques compétitions qui se sont systématiquement conclues par des claquages. Mon corps ne voulait plus suivre. Alors, j'ai continué pour le plaisir. »

Un autre sens à sa vie

Tout naturellement la vie a repris ses droits. La championne aux 31 sélections en équipe de France a commencé à penser autrement que par le sport. 

Après avoir quitté la BDAF , Elle reprend l'exploitation cannière familiale et diversifie l'activité.

          

 

                    Christian DAHOMAY  

Aujourd'hui retraité de la BDAF, Christian DAHOMAY est Né dans un environnement musical d'où il hérite du virus de la musique par son grand-père maternel Joseph Brisacier et  son père Elie Dahomay.Dès 1965, il dirige des orchestres de bals dans lesquels il joue de la trompette. Mais en 1971, sa rencontre avec Guy Konket grand chanteur de gwoka, qui par sa voix et par son charisme, va totalement changer son orientation musicale. Ainsi, depuis 1972 il ne se consacre plus qu'à cette musique.

Après son expérience avec Konket, en 1979, il entre dans un groupe de « gwoka évolutif » : « Kafé Ka Lévé ». Il y restera 13 ans. Il quitte ce groupe pour monter une petite formation, « Katouré », avec sa sœur et élève, Marie-Line Dahomay. Ils ont pu ainsi, pendant 5 ans, jouer en Guadeloupe et ainsi qu'en Martinique, aux Etats Unis (Louisiane) et à Cuba (Festival del Fuego).Cela ne l'empêche pas, de 1987 à 2011, d’expérimenter le chant lyrique, ce qui lui permet de comprendre la technique du chant gwoka.

Depuis 2007, il s’intéresse beaucoup aux cordes et compose des œuvres pour cordes, chœur, orchestre et ka, pour l’Ensemble Instrumental Le Chevalier de Saint-Georges. Ce dernier donne deux concerts à Nantes en 2008.

Christian Dahomay dirige lui-même ses œuvres. En 2008, il suit des masters-classes de direction d'orchestre avec René Castelain (Chef de l'Orchestre d'Harmonie de Chartres, chef de la Musique de l’Air de Paris en 1986), et Marc Lefèbvre (Directeur du Conservatoire de Musique et d’Art Dramatique, chef de l'orchestre d'Harmonie d'Aix-les-Bains.)Il écrit actuellement la musique de Kawmèn-ka un Opéra-Ka de Luc Saint-Éloi, et est sur le point de publier deux documents sur le gwoka : une méthode sur le « Boulamawkaj » et un recueil de chants

extrait site internet "les musiciennes"

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