top of page

                                                                                               

 

                                                        La Banque de la Guadeloupe et la BDAF

 

                                     dans la littérature Antillaise

 

 

                                                 Extrait du livre Au Nom De la Patrie de Jean PLUMASSEAU ( Ed Nestor- 2012)

Chapitre 9

 

« En fait et pour tout dire, le douanier se cachait chez un sympathisant du G.O.N.G  qui n’avait ni passion

pour l a politique ni sentiment belliqueux contre la France. Cet homme faisait partie de ces gens maltraités

par habitude qui avaient compris que dans cette société en marche d’escalier, tous les croche-pieds lui étaient

réservés.

Un employé de la Banque des Antilles Françaises, avec son éponge humectant ses doigts de petit comptable,

un employé de banque qui chaque jour bénissait le seigneur d’avoir compté exactement les billets et les pièces.

Charles Prosper était donc un homme apprêté portant manches de lustrine et col empesé. I

l  parlait peu et ne souriait guère tant sa vie ressemblait à une trieuse disciplinée qui devait toujours tomber juste »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Extrait du livre Une Enfance Antillaise de Maria ODET ( l’harmattant 1992)

…/…

Pointe à pitre : " la Pointe " plus communément appelée, administrée par le maire Achille-René BOISNEUF.

Ma ville avec sa mairie dans la « Grand’Rue » qui porte aujourd’hui le nom de ce maire

Une église, ayant pour patrons Saints Pierre et Paul et une chapelle dédiée à Saint Jules

Une Banque dénommée « Banque de la Guadeloupe »

Une caserne avec des gendarmes à cheval

Une autre caserne avec les soldats du feu, avec leur pompe à bras.

Et puis… Et puis tout ce qui est nécessaire à la vie d’un peuple »…

 

Nous contacter/ vos commentaires
 
 
a renseigner dès la 1ière case

Vos informations ont bien été envoyées !

bottom of page